Quand on parle SEO, on parle forcément de réputation. Et qui dit réputation, dit backlinks.
C’est simple : Google ne vous croit pas sur parole. Il vous juge par rapport aux autres. Des liens entrants, des citations, de la légitimité construite brique après brique.
Mais voilà, tout le monde n’a pas 10K€/mois à claquer en netlinking.
Mes clients, ce sont des start-up en pré-levée, des TPE, des PME en quête de croissance, pas les licornes blindées de cash. Et pourtant : ils veulent des résultats. Ils veulent du SEO qui performe.
Alors on fait quoi, quand on n’a pas un gros budget, mais qu’on sait que sans réputation, on reste invisible ?
C’est là que la logique growth entre en jeu.
Faire mieux que les gros, avec moins.
Être malin, rapide, créatif.
Optimiser chaque backlink obtenu.
Créer de la valeur avant de dépenser.
Dans cet article, je te montre comment je construis la réputation SEO de mes clients, même sans budget stratosphérique.
Des méthodes testées, éprouvées, pensées pour les petites structures.
Du concret. Du terrain. Du growth SEO pur jus.
1. C’est quoi un backlink (et pourquoi c’est si important) ?
Un backlink, c’est tout simplement un lien externe qui pointe vers ton site. Un site A (par exemple un blog, un média, un annuaire, etc.) fait un lien vers ton site B.
Google voit ça comme un signal de confiance. Et ce signal, il compte. Beaucoup.
Pourquoi les backlinks sont-ils importants ?
Parce qu’ils influencent directement trois choses :
- Ton autorité : plus tu es cité, plus tu es perçu comme crédible.
- Ton positionnement : Google te remonte plus haut dans les résultats de recherche.
- Ton trafic organique : meilleur ranking = plus de clics = plus de clients potentiels.
Dans les faits, sur les requêtes concurrentielles, on retrouve toujours en première page les sites les plus backlinkés. Le contenu seul ne suffit plus.
Tu peux avoir le meilleur contenu du monde, si personne ne parle de toi, Google n’a aucune raison de te faire confiance.
Attention, tous les backlinks ne se valent pas
Un lien depuis Le Monde ou Numerama, c’est pas pareil qu’un lien depuis tuto-bidule.tk. Google trie, pondère, évalue :
- L’autorité du site
- La pertinence du contexte
- La fraîcheur du lien
- Sa position dans la page (dans le contenu ? en pied de page ?)
On est passé d’une logique de quantité à une logique de qualité. Aujourd’hui, 5 bons liens bien placés valent mieux que 100 liens pourris.
Si tu veux être visible, tu dois construire ta réputation. Et ça passe par les liens.
2. La stratégie Growth en netlinking : faire mieux avec moins
En Growth, on n’a ni le temps ni le budget pour partir sur des stratégies SEO longues, lentes et coûteuses.
Alors on pense autrement.
On vise l’impact rapide et durable, même avec peu de moyens. Et surtout : on ne balance pas du budget dans le vide.
La base : la réputation avant les backlinks
Avant de chercher le moindre lien, je pose toujours la même question :
“Qu’est-ce qu’on dit de toi sur Internet ?”
Parce que la meilleure stratégie de backlinks, c’est déjà d’avoir une réputation solide. Pas besoin de spammer ou d’acheter des centaines de liens si :
- Ton Google Business est vide
- Tu n’as aucun avis client
- Tu n’es cité nulle part
Les bases doivent être solides :
- Collecter des avis Google (idéalement via des outils partenaires pour automatiser)
- Travailler sa présence locale avec Google Business Profile
- S’assurer qu’on a déjà quelques liens naturels de qualité (partenaires, anciens clients, annuaires pro, etc.)
En Growth, on privilégie la qualité à la quantité
Pas de liens pourris à 5€.
Pas de fermes à backlinks.
On va chercher :
- Des backlinks pertinents dans notre thématique
- Des backlinks depuis des sites crédibles
- Des backlinks qui peuvent apporter du trafic réel
Si on doit acheter, on le fait de manière chirurgicale :
Un lien bien ciblé sur un site influent dans la bonne thématique peut avoir plus d’impact que 50 liens génériques.
Construire ses propres médias : le vrai levier 2025
Tu veux des backlinks ? Deviens source d’autorité.
Ne cours pas après la presse. Deviens ton propre média :
- LinkedIn (contenus réguliers + interactions)
- Chaîne YouTube (tutos, témoignages, expertise)
- Podcasts (en produire ou être invité)
- Webinars (même pour 10 personnes au début)
C’est ça, la stratégie growth en SEO aujourd’hui :
Créer du contenu qui mérite d’être linké.
Ne pas négliger les “petits” liens
Oui, les annuaires gratuits, profils publics, forums spécialisés ne feront pas exploser ton SEO…
Mais ils montrent à Google que tu existes.
Et ils construisent un profil de lien naturel et diversifié.
En Growth, on prend tout ce qui est propre, gratuit, et pas chronophage.
En résumé :
- On pense réputation avant technique
- On collecte des avis avant des liens
- On construit du contenu propriétaire au lieu de courir après les médias
- On achète peu, mais bien
- On exploite à fond les ressources gratuites disponibles
Le SEO, c’est un marathon, même en mode growth. Mais quand on court vite et malin, on peut doubler des concurrents bien plus gros.
3. Travailler ses avis : la première brique de ta réputation SEO
Avant de penser backlinks, pense preuve sociale.
Parce que ce qu’on dit de toi en ligne vaut parfois plus que ce que tu dis toi-même. Et Google le sait très bien.
Aujourd’hui, un site sans avis, sans témoignage client, sans feedback utilisateur, c’est un site qui inspire peu confiance, aux internautes et à l’algorithme.
Alors, en stratégie growth, on commence par là.
1. Une page “témoignages clients” sur ton site : la base
Ça paraît évident, et pourtant…
Combien d’entreprises n’ont aucune page dédiée aux retours clients ?
Ou alors une page planquée dans un sous-menu, vide, ou qui sent le faux ?
Il te faut une vraie page témoignages, claire, honnête, avec :
- Le prénom + nom + entreprise si possible
- Le besoin initial du client
- Le résultat obtenu
- Et pourquoi il te recommande
C’est bon pour ton SEO, pour ton taux de conversion, et pour ta crédibilité.
2. Google Profile : ta carte de visite SEO local
Ton Google Business Profile (ex-Google My Business) est fondamental.
Pourquoi ? Parce qu’il impacte directement ton positionnement dans le Local Pack (les 3 résultats géolocalisés affichés sur une carte en haut de page).
Et dans ce Local Pack, Google privilégie les profils avec le plus d’avis (et les mieux notés, évidemment).
Pas d’avis = peu de chances d’apparaître.
Donc, on bosse son profil Google :
- Adresse bien remplie
- Photos de qualité
- Description optimisée
Et surtout : collecte régulière d’avis clients.
3. Utiliser des outils de collecte d’avis “Google Partner”
Pour aller plus loin, je recommande de passer par des outils certifiés et reconnus comme :
- Trustpilot : https://fr.trustpilot.com/
- Avis Vérifiés : https://fr.avis-verifies.com/
- Trustfolio : https://trustfolio.co/
Pourquoi c’est smart ?
- Ils remontent bien dans les SERP
- Ils renvoient souvent des backlinks vers ton site
- Ils rassurent immédiatement le visiteur
- Et Google valorise ces sources dans sa compréhension de ta réputation.
Oui, ces outils sont souvent payants. Mais c’est un investissement rentable si tu veux booster ta réputation en ligne rapidement.
4. Bonus : Travaille ta marque employeur
Si tu recrutes, pense aussi à ta réputation employeur :
- Glassdoor
- Welcome to the Jungle
- Indeed
Ce sont aussi des signaux de confiance — surtout en B2B.
La preuve sociale, c’est du backlink intelligent
Les avis clients, c’est du SEO déguisé en marketing.
C’est du contenu frais, souvent hébergé sur des plateformes à forte autorité, qui renvoient vers toi, qui te crédibilisent aux yeux de Google et des internautes.
Si je devais ne faire qu’une seule action de netlinking dans un budget serré :
Je travaillerais la collecte d’avis.
C’est ça, le growth SEO intelligent.
Construire sa réputation avant même de penser à l’acheter.
4. Développer ses propres médias : l’arme fatale en 2025
Tu veux construire une réputation solide ?
Tu veux des backlinks ?
Tu veux qu’on parle de toi ?
Commence par devenir ton propre média.
Parce que non, acheter un article sponsorisé sur un site random pour 1500€, ce n’est pas une stratégie.C’est un pansement.
La vraie stratégie growth en 2025, c’est de créer ton audience, ton contenu, ton influence.
Et ça, ça passe par tes propres médias.
Créer du contenu, oui — mais du contenu qui mérite d’être cité
Quand je parle de “développer ses propres médias”, je parle de :
- Articles de blog approfondis (pas des billets de 300 mots torchés à la va-vite)
- Webinars bien marketés (même en petit comité)
- Infographies ou ressources téléchargeables
- Podcasts thématiques
- Vidéos YouTube
- Et bien sûr : publication régulière sur les réseaux sociaux
Du contenu riche, utile, partageable.
Du contenu qui donne envie de faire un lien vers toi.
Parce que c’est ça, l’origine des backlinks naturels.
Pourquoi Google adore ça
Sache que Google :
- Met en avant les résultats sociaux dans ses SERP (posts LinkedIn, tweets, etc.)
- Valorise les vidéos YouTube (normal, c’est leur bébé)
- Pousse les articles de blog bien structurés (surtout ceux qui répondent à des requêtes spécifiques)
- Propose des webinars ou podcasts dans Google Podcasts, Google News, YouTube et plus encore
Autrement dit : si tu crées du contenu propriétaire bien fait, tu t’assures :
- Plus de visibilité
- Plus d’ancrage sur ton domaine
- Et plus de chances d’être linké naturellement par d’autres
Mieux vaut investir sur ses actifs que sur de la location d’audience
Acheter un article sur un média, c’est louer un spot.
Créer un podcast ou une chaîne YouTube, c’est posséder le théâtre.
Je ne suis pas contre l’achat de liens ou de visibilité, mais soyons clairs :
Avant de payer pour être visible chez les autres, construis ta propre audience.
Tu veux qu’on te voie ? Sois visible.
Tu veux qu’on parle de toi ? Donne des choses à raconter.
Quels canaux selon ton business ?
- LinkedIn : incontournable en B2B
- Instagram : puissant en B2C visuel (food, mode, beauté, bien-être…)
- YouTube : transversal, incontournable pour tout ce qui est démonstration, pédagogie, storytelling
- Newsletter : une audience captive, à toi
- Podcast : encore sous-coté, très bon pour installer une autorité
Chaque entreprise doit choisir ses canaux en fonction de ses clients, de sa voix, de ses forces. Mais aucune entreprise ne peut plus se passer d’un média à elle.
En 2025, on arrête de courir après les médias des autres
On investit dans ses propres formats, ses propres canaux, sa propre voix.
C’est plus rentable, plus pérenne, et bien plus puissant pour générer des backlinks naturels et construire une réputation durable.
5. L’acquisition de backlinks : comment faire sans exploser son budget
Une fois que ta réputation est solide, que tu as des avis clients, des contenus, une présence en ligne…
Tu peux commencer à travailler activement ton netlinking.
Et là, dans une logique d’acquisition Growth , il faut être intelligent. On ne va pas acheter des dizaines de liens à l’aveugle. On va chercher à faire peu, mais bien.
C’est quoi un bon backlink ?
Un bon backlink, c’est un lien qui coche plusieurs cases :
- Il provient d’un site de qualité (autorité, légitimité, trafic réel)
- Il est inséré dans un contenu pertinent, au bon endroit
- Il est DoFollow (il transmet du “jus” SEO)
- Il est contextualisé, avec une ancre bien choisie
- Il a du sens : même thématique, audience compatible, logique éditoriale claire
En clair : un site crédible parle de toi, dans un article pertinent, avec un lien bien intégré. Ça, c’est ce que Google adore.
Pourquoi passer par des plateformes de netlinking ?
Parce que faire du netlinking en direct, c’est une galère :
- Identifier les bons sites
- Trouver le bon contact
- Négocier les prix
- Assurer la publication
- Vérifier le lien
Les plateformes (comme Rocketlinks, Boosterlink, eReferer, LinksGarden, Linkuma, etc.) te font gagner un temps fou.
Et dans beaucoup de cas, les tarifs sont déjà négociés, donc le gain en efficacité est énorme.
Mon conseil :
J’utilise principalement Rocketlinks (https://www.rocketlinks.net/), qui propose une interface claire, un bon rapport qualité/prix, et surtout une couche IA pour mieux filtrer les opportunités de lien.
6. Comment bien choisir ses backlinks ?
Si tu dois faire des choix (et tu en auras), voici les indicateurs clés à garder en tête :
✅Les bons indicateurs à surveiller :
- DA (Domain Authority) – Moz : indicateur de puissance d’un domaine. Très utilisé.
- TF (Trust Flow) – Majestic : évalue la qualité des liens pointant vers un site.
- DR (Domain Rating) – Ahrefs : équivalent du DA, calculé différemment.
- CF (Citation Flow) – Majestic : mesure la quantité de backlinks (utile, mais moins déterminant).
Globalement, je privilégie DA + TF, car ce sont les deux plus stables et les plus faciles à lire.
❌ Ce qu’il faut éviter absolument :
- Les sites avec du contenu de mauvaise qualité ou sans ligne éditoriale claire
- Les fermes à liens ou réseaux artificiels sans trafic réel
- Les liens placés n’importe où (footer, sidebar, pages orphelines)
- Les backlinks en masse, trop vite, avec des ancres sur-optimisées
Acheter 20 liens d’un coup à pas cher, c’est le meilleur moyen de te tirer une balle dans le pied.
Et le rythme d’acquisition alors ?
Google valorise une progression naturelle.
Il vaut mieux publier 1 à 2 bons liens par mois que 15 liens en 3 jours.
On parle d’un marathon, pas d’un sprint.
Et côté DoFollow / NoFollow, pas besoin de 100% DoFollow.
Un profil sain inclut des liens NoFollow aussi — comme ceux des réseaux sociaux ou des annuaires.
Et les mauvais backlinks ?
Aujourd’hui, Google sait faire le tri.
Tu peux avoir quelques liens toxiques, il ne va pas te pénaliser immédiatement.
Sauf cas extrêmes, mieux vaut concentrer ton énergie sur l’acquisition de bons liens plutôt que de passer ton temps à désavouer les mauvais.
7. B2B vs B2C : même logique, intensité différente
La stratégie est la même, mais le niveau d’effort change :
En B2B :
- Une autorité entre 20 et 30 en DA est déjà très bien
- La concurrence est souvent moins intense
- Quelques bons liens suffisent à bien se positionner
En B2C :
- Objectif : DA 30+ minimum
- Il faut plus de volume, plus de variété, plus d’investissement
- Le SEO est souvent plus dur, plus concurrentiel
Et une fois que ton site atteint un bon niveau d’autorité, le travail bascule :
- tu passes du netlinking offensif à une logique d’entretien
- tu investis davantage dans le contenu, les réseaux sociaux, les médias propriétaires
8. Tendances 2025 en Netlinking : ce qui marche (et ce qui ne marche plus)
Ce qui fonctionne :
- Les liens éditoriaux naturels (même obtenus via plateforme)
- Les citations dans des podcasts, newsletters ou interviews
- Le contenu propriétaire qualitatif (YouTube, LinkedIn, blog, etc.)
- Les ressources utiles : outils gratuits, études de cas, templates
Ce qui est mort :
- Les réseaux artificiels de sites sans trafic
- Les liens d’affiliation bourrins
- Les liens payants à la chaîne, non contextualisés
- Les ancres sur-optimisées dans des contenus sans valeur
En 2025, le backlink, c’est une question de réputation, pas de volume
Tu veux performer en SEO aujourd’hui ? Tu dois adopter une démarche growth marketing qui rassure Google.
Et Google regarde :
- Ce qu’on dit de toi (avis clients)
- Où on parle de toi (contenus, médias, réseaux)
- Comment on parle de toi (liens, citations, signaux sociaux)
La meilleure stratégie de netlinking, ce n’est pas de tricher. C’est de mériter tes backlinks. Et de les obtenir de manière régulière, cohérente, qualitative.
En résumé :
- Travaille tes avis clients
- Développe tes propres médias
- Crée un contenu inspirant et utile
- Achète quelques liens ciblés, bien choisis
- Et bâtis une e-réputation solide sur le long terme
Bien sûr ! Voici une FAQ complète à ajouter à la fin de ton article ou à intégrer dans une section dédiée sur ton site. Elle reprend les grandes questions que tes lecteurs (startups, TPE, PME) pourraient se poser sur les backlinks, la réputation, et la stratégie growth SEO associée.
FAQ – Tout comprendre sur les backlinks et la e-réputation SEO en 2025
C’est quoi un backlink et à quoi ça sert ?
Un backlink est un lien hypertexte depuis un site externe qui pointe vers le tien.
Pour Google, c’est un signal de confiance : plus tu es cité par des sites de qualité, plus tu gagnes en crédibilité et en visibilité dans les résultats de recherche.
Tous les backlinks se valent-ils ?
Non. Un lien depuis un blog obscur sans trafic n’aura pas le même impact qu’un lien dans un article de fond sur un site reconnu dans ton secteur.
Mieux vaut quelques liens de qualité qu’une centaine de liens faibles ou spammy.
Est-il recommandé d’acheter des backlinks ?
Ce n’est pas obligatoire, mais dans certains cas, acheter intelligemment quelques backlinks ciblés via des plateformes peut vraiment booster ta stratégie.
Il faut simplement éviter les achats massifs, non contextualisés, et toujours privilégier la qualité et la régularité.
Quelles sont les meilleures plateformes de netlinking ?
Voici quelques plateformes que je recommande :
- RocketLink (ma préférée pour sa clarté et ses options IA)
- Boosterlink
- eReferer
- LinksGarden
- Linkuma
À tester selon ton secteur et ton budget.
Quels indicateurs regarder pour choisir un bon site ?
Si j’ai des mauvais backlinks, dois-je les désavouer ?
Pas forcément. Google est de plus en plus capable de faire le tri.
À moins d’être victime d’une attaque massive de liens toxiques, il vaut mieux se concentrer sur l’acquisition de bons liens que passer du temps à nettoyer les mauvais.
Est-ce que les avis clients comptent pour le SEO ?
Oui, énormément.
Google prend en compte les avis clients sur Google Business Profile, mais aussi ceux présents sur des outils comme Trustpilot, Avis Vérifiés, Trustfolio, etc.
C’est un levier majeur pour ta réputation en ligne, en particulier pour le SEO local.
Est-ce que développer ses propres médias est efficace en matière de backlinks ?
Absolument.
Créer du contenu (articles, podcasts, vidéos, webinars, posts LinkedIn…) permet de construire une audience, de générer des backlinks naturels, et d’asseoir ta légitimité dans ton secteur.
C’est plus rentable que de payer pour être visible sur des médias tiers.
Doit-on privilégier les liens DoFollow ?
Les liens DoFollow transmettent de l’autorité SEO.
Mais un profil de lien naturel inclut aussi des liens NoFollow (réseaux sociaux, forums, annuaires…).
Il faut mixer les deux pour avoir un profil crédible.
Faut-il adopter une stratégie netlinking différente en B2B et en B2C ?
Oui :
- En B2B, une autorité de domaine entre 20 et 30 peut suffire.
- En B2C, il faudra souvent dépasser les 30 en DA pour se faire une vraie place.
Mais dans les deux cas, la logique reste la même : qualité > quantité.
Quand verrai-je les résultats de ma stratégie de backlinks ?
Les effets ne sont pas immédiats.
Compte en général 3 à 6 mois pour commencer à voir des résultats tangibles en SEO après une campagne de netlinking bien menée.
La régularité est plus importante que la précipitation.
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